Aujourd'hui nous présentions la première traduction en anglais de l'étude Attractivité France 2011 intitullée l'Avenir maintenant que nous avons transformé en "The Future ? Now !" .
Et pour échanger sur cette dynamique un panels d'interlocuteurs qui nous ont permis de partager différents angles de vues parfois contrastés entre
- celui des chefs d'entreprises étrangères installées en France bien sûr avec Michael Koch CEO de Wolters Kluwer en France l'éditeur néerlandais contrôlant les éditions Lamy, Claude Sassoulas Directeur du Developpement Emeia du groupe indien Tata Communication Systems et le patron du Groupe Allemand Lanxess Benoit Meyran de Chamisso
- celui des Universitaires avec Jean Marc Huissoud professeur de Géopolitique à l'ESC Grenoble et André Yves Portnoff directeur de l'Observatoire de la Révolution de l'Intelligence au sein du Groupe Futuribles
- celui du premier ambassadeur de la France qui attire David Appia président de l'Agence Française des Investissement Etrangers.
Après une présentation des conclusions de l'enquête attractivité France - complétée par les travaux réalisés par notre maison sur la marque France vue de l'étranger ou encore des éléments de la Worldwide Tax Competitiveness survey que nous publions chaque année en janvier - par Marc Lhermitte et votre serviteur, le panel en partageant ses expériences de management a su provoquer le débat avec la salle qui comportait notamment le directeur général de BASF ou le président de Tetra Pack, de Huawei, les équipes de Paris Développement ou de Paris Capitale Economique.
Notre complice sur la marque France, Denis Gancel créateur de l'agence W & Cie était bien entendu présent et tous ont souligné le paradoxe français: un espoir démographique, une capacité d'assimilation, une culture , une technologie ... qui souffre de l'incapacité à chasser en meute, à véritablement travailler en équipe.
Avec des remarques originales comme l'encouragement au rapprochement des secteurs du tourisme et de la culture pour mieux séduire les investisseurs étrangers potentiels, à commencer par leurs familles ! Quelques piques sur le système scolaire français et sa compétition individuelle ! Un regret du taux d'industrialisation en recul par rapport à nos voisins allemands, notamment à cause des coûts salariaux ou d'un débat syndical bien pauvre ... finalement au final un ensemble d'arguments softs en faveur de la France mais qui vont demander de gros efforts de marketing B to B.
Cet éclairage par le marché nous confirme dans cette initiative justifiant la création de ce continuum de débats sur l'attractivité par Ernst & Young en France comme à l'étranger.
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