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Accueil de l'ambassadeur Rakesh Sood
par Jean Pierre Letartre CEO d'Ernst & Young
et votre serviteur |
C'est la question que nous posions à l'ambassadeur d'Inde en France le 5 juillet dernier, avant d'en débattre avec trois chefs d'entreprises français installés en Inde, avec le fin connaisseur des relations France Inde qu'est le représentant de CII en France -l'équivalent de l'AFEP en Inde - et de conclure les débats par une vue technique apportée par nos spécialistes indiens du desk EY indien basé à Londres avec lequel nous travaillons régulièrement au sein de l'Indian Business Network qui couvre plus de 60 pays dont la France.
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Le panel des représentants des séaprtements M&A
de Vétoquinol, Solvay et le CEO d'une pme bretonne
leader du marché des telecoms autour de
notre ami Ramesh Mulye de CII |
J'avais la chance d'être le maître de de cérémonie et l'animateur des débats, mais aussi de présenter les éléments force de l'enquête attractivité Inde de janvier, revisitée à l'occasion du colloque Géostratégie et Politique de Grenoble pour lequel les organisateurs m'avaient invité à plancher sur cette question provocatrice.
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Sampa Bashin responsable du M&A
Europe Inde basée à Londres avec son
homologue fiscaliste indien |
Le possibilité aussi de benchmarker le développement de l'Inde avec celui du Brésil et d'entendre un point de vue sur les évolutions politiques que nous pouvons observer aujourd'hui avec peut être prochainement des élections anticipées.
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Préparation studieuse pour son Excellence
Rakesh Sood et Jean Pierre Letartre |
Enfin de manière très amicale l'ambassadeur dans son discours d'ouverture a rappelé notre rendez vous lorsque je suis venu avec Christophe Hemery, le vrai indien de notre desk, présenter ce projet et son étonnement d'une question aussi provocatrice à un ambassadeur qui multiplie les initiatives pour la promotion de l'investissement dans son pays ! L'occasion de rappeler aussi qu'après 15 minutes d'argumentaire sur les fantastiques opportunités offertes par une stratégie à long terme avec des moyens financiers conséquents pour s'implanter en Inde, il était quand même nécessaire d'aider les entrepreneurs à décrypter la société indienne et d'anticiper les difficultés potentielles de cette nation pleine d'énergie.
Après tout les entrepreneurs Indiens n'ont ils pas autant de difficultés à comprendre les français même quand ils choisissent notre pays pour conquérir l'Afrique ?
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